ouver dans un état extrêmement liquide. L’étain est ensuite versé par grandes vagues, entrainant le laiton, comme la mer emporte les galets. Les gestes et la chorégraphie ont une importance capitale pour ce type d’effet. La pièce coulée est ensuite retournée, noyée dans la résine transparente. Ensuite de longues opérations de ponçage permettent de mettre une partie de l’étain et du laiton, à fleur, en partie haute, tout en laissant d’autre pépites de laiton dans les profondeurs de l’étain et de la résine.
De vaste opérations de reprise de l’étain et de la résine précèdent le polissage final.

La pièce laisse apparaître l’étain poli et le laiton à fleur, comme de petites taches de léopard. Le laiton en partie basse, dans la résine garde un aspect bombé et brille comme une sphère. Certaines traces d’étain longilignes, juste sous la résine garderont un état brut satiné et participent au vocabulaire de l’oeuvre.